samedi 20 octobre 2007

Nostalgie Time [Annonce]



Bon, ce blog n'a pas vraiment de succès... Faut dire que je n'en ai pas fait une pub extraordinaire : j'aime pô des masses ça. Mais pour ceux qui viennent de temps en temps je garde la boutique ouverte en mettant du neuf régulièrement. Voici donc, pour ces rares personnes, une nouvelle version que je pourrais qualifier de "Nostalgique".

Au plaisir de vous lire... ;)

dimanche 14 octobre 2007

Vienne la Nuit, Sonne l'Heure [Story]



Vienne la Nuit, sonne l’Heure…


Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure

Guillaume Apollinaire

Ici, les draps sont d’un blanc immaculés. Tout comme le reste d’ailleurs. La tapisserie est blanche, le plafond est blanc, les rideaux sont blancs, le sol est blanc et la lumière est blanche… Cela semble curieux qu’un endroit où meurt tant de gens soit colorée de cette manière. C’est un peu trop pur pour être vrai.

Benoît se retourne dans ses couvertures. La nausée qui le guette depuis deux heures l’a enfin rattrapé. Il sait qu’il ne tardera pas à appeler une infirmière pour que celle-ci l’aide à aller vomir. Chaque jour, il s’agit du même manège… Il ferme les yeux. Il ne déteste même plus l’hôpital comme lors des premiers jours. Il a fini par prendre conscience qu’il ne pouvait guère plus se passer des médecins et des infirmières. De plus, il sait qu’il ne serait qu’une charge pour sa famille…

Une charge, un poids… C’est précisément ce qu’il ne veut éviter de devenir. Mais comment peut-il en être autrement ? Le Cancer l’affaiblit, à un tel point qu’il ne peut réaliser les menues actions de tout les jours sans une aide. Ne pas pouvoir aller aux toilettes seul. N’est ce pas affreux pour un garçon de 12 ans ? Au début Benoît en éprouvait une certaine honte, mais à présent il est bien au dessus de tout cela. Il se contente de prendre l’aide qu’on lui apporte, sans autre arrière pensée que d’être le plus complaisant possible.

Benoît se redresse dans son lit, grimaçant légèrement. Il respire profondément deux ou trois fois. Contrairement à ce que ses parents pensent, Benoît est parfaitement conscient de la gravité de son état. Seulement, il préfère faire semblant d’être insouciant. Il sait au fond de lui que de montrer trop de gravité dans son comportement ne serait pas bon. Ses parents —en particulier sa mère- ne le supporteraient pas.

Avant, Benoît recevait la visite de ses amis, de temps à autre. Ses visites, qui lui permettait de s’ouvrir encore au monde extérieur, s’espacèrent considérablement, pour finir par ne plus avoir lieu. Le jeune garçon a compris que ses camarades ne savaient comment réagir devant la situation et avaient préféré la fuite. Benoît ne leur en voulait pas. C’était comme ça, c’est tout.

Une toux rauque sortie de sa gorge. Benoît se plia en deux, la respiration courte et sifflante. Après quelques minutes, il peut respirer de nouveau plus librement. Il sait qu’il va mourir. Mais sa mort prochaine ne l’effraie pas. Il lui arrive de songer à elle, avec soulagement. Son traitement ne le sauvera pas, il le sait.

Curieusement, Benoît ne ressent pas l’injustice de la situation. Pourquoi lui après tout ? Il ne se pose pas cette question. C’est arrivé, c’est tout. Maintenant, il n’attend guère plus qu’une chose : la délivrance.

L’adolescent ferme un instant les yeux, las. Dehors, le tonnerre se fait entendre, mais Benoît ne montre aucun sursaut. Il ouvre les yeux de nouveau et fixe le ciel qu’il voit à travers sa fenêtre. La nuit est tombée. Encore une journée de passée… Une de plus.

Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure

vendredi 12 octobre 2007

Last Good Bye for a great man

- My GrandPa -

Grognon.

La maison de Surbaix

La caisse à outils mal rangée.

Ta 'pièce', et tes tableaux, tes pinceaux, ton chevalet.

Ton rire.

Ta moustache rapeuse.

Ton étreinte chaleureuse.

Tes yeux voilés, étrangement brillants.

Mon Grand-Père. Mon Papy.
Patriache de la famille... Doyen, Héros de Guerre, tu es parti.

Il ne s'agit plus d'un simple "Au revoir, on se revoit bientôt !" mais bien d'un "Adieu" définitif, cette fois-ci...

Si je croyais en Dieu, je dirais sûrement : on se reverra bientôt ?

Mais je ne sais plus en quoi je crois...

Alors ma foi, Papy, on verra...


[Dernier Hommage à mon grand-père paternel, décédé le 30/07/07. Demain à lieu une remise de plaque de la part des Anciens Combattants, j'en profite donc pour écrire ces quelques mots...]


mardi 9 octobre 2007

Trilogie "Bourne" [Littérature]




Petite Note : Cet article a été écrit pour Cha à la base, mais je ne vois aucune raison pour ne pas le mettre également sur mon blog. Vu le temps que j'y ai passé, ce serait domage de ne pas en profiter ! ^^

La trilogie Bourne par Robert Ludlum


Film très attendu à la fin de cette année 2007, la Vengeance dans la Peau, clôture de façon magistrale la trilogie racontant les aventures de l’agent secret, Jason Bourne.Série à succès, suivit de près par des fans de toutes nationalités confondues, les personnes connaissant l’origine de ce personnage fictif sont, cependant, rares.

En effet, La Mémoire dans la Peau, La mort dans la Peau et la Vengeance dans la Peau ne sont que des adaptations cinématographiques des romans de Robert Ludlum. Ceux qui auront eu la curiosité de lire ces livres, auront sûrement remarqué quelques différences notables et plutôt conséquentes entre les deux versions.

Tout d’abord, au sujet de notre héros… LE Jason Bourne. Si le nom ne change pas, l’apparence elle, n’est pas la même. On ne peut qu’être surpris du choix du réalisateur, Doug Liman, au sujet de son acteur principal : Matt Damon, incarne un homme fougueux, nerveux et téméraire, dont la musculature n’a rien a envié à Hulk et autres supers héros du même genre.... Rien à voir avec le héros initial de R. Ludlum qui avoisinait les… 40 ans !

Passons ensuite à la compagne de notre jeune ami [pas si jeune que ça comme nous venons de le voir]. Une nouvelle fois, les réalisateurs ont pris une certaine liberté, et ont façonné un personnage bien éloigné de la Marie d’origine… On voit donc à l’écran une jeune femme un peu perdue, comme on en voit tant aux Etats-Unis, qui suit Jason Bourne dans ses aventures, tachant de l’aider de son mieux. Mais avouons-le : c’est souvent Jason qui la sort du pétrin, et non pas l’inverse…

Robert Ludlum avait imaginé une femme plus mûre et d’une autre trempe. Marie St Jacques [autre liberté : ils n’ont pas gardé le même nom…], n’est absolument pas démunie : elle travaille au consulat du Canada, à un poste plutôt haut placé… Jason la rencontre lors d’une conférence, et la prend en otage pour pouvoir sortir de la bâtisse, alors occupée par des gens qui ont en après lui. Ce n’est qu’après avoir sauvé la vie de Marie que cette dernière se décide alors à l’aider dans sa quête de vérité.

Autre différences notables : Chez Ludlum, Marie ne meurt pas au court de l’aventure. Elle l’épouse même et se retrouve embarquée à ses côtés dans la pire des aventures…Pour revenir à Bourne, on nous dit que c’est un ancien agent secret de la CIA, formé pour être un tueur hors-pair qui exécute des contrats spéciaux. On nous présente donc, dans le film, un héros torturé par le souvenir de ses anciens crimes qui lui reviennent à la mémoire.

La mission que Ludlum a confié à Jason Bourne, est d’une autre complexité… Ainsi Bourne, de son vrai nom David Webb, a été choisi pour traquer UNE personne. Le personnage de Jason Bourne a été crée de toutes pièces par la CIA afin de piéger un tueur international, Carlos, dit le Chacal. C’est cette traque que nous suivons au cours de ces romans, avec pour final, le combat entre ces deux légendes du crime…

De ce fait, on assiste à une sorte de dédoublement de personnalité chez Bourne/Webb. Chacune des deux facettes prenant tour à tour le pouvoir, créant une sorte de folie destructrice chez notre héros… Chose qui est développé avec moins de force dans l’adaptation cinématographique.

En conclusion, on peut donc dire que les libertés prises autour des personnages et de l’intrigue de Robert Ludlum font de ces films une histoire presque différente, que l’on peut suivre indépendamment des livres. A notez cependant qu’il est bon de lire les romans, ne serait-ce que pour apprécier l’extrême qualité de sa plume, et la manière dont il nous transporte au cœur de ce monde d’espionnage…

Note : Avant l’adaptation récente proposée par Doug Liman, un autre film/mini série avait été réalisée en 1988 par Frederick Muller. Plus ancienne, les acteurs et l’intrigue se rapprochent davantage du best seller de Robert Ludlum.

samedi 6 octobre 2007

BB Brunes [Musique]



Je ne connais pas ce groupe depuis très longtemps pour être honnête. C'est ma cousine qui me l'a fait découvrir, cet été, en me contant ses aventures lors des différents showcases auxquels elle avait assisté.

Bref, je me laisse tenter, et tend une oreille à la musique "Le Gang" qu'elle m'avait gentiment filé, et... Super 1ère impression ! Du bon rock à la française, dans la même lignée que Noir Desir qui se laisse facilement écouter pour ne pas dire plus ! :D

Des rythmes entrainants, une voix du chanteur au timbre agréable et original, et si on a la curiosité d'aller jeter un oeil aux clips produits [rares malheureusement], on s'aperçoit qu'ils sont très originaux et de qualité !

Et si vous aussi, vous vous laissiez tenté ? ;)

Voilà pour vos yeux et vos n'oreilles le Clip de leur chanson, "Le Gang".

Nouvelle Version [Annonce]




Après quelque temps sans avoir posté, me revoilà, profitant d'un peu de temps pour mettre en place une nouvelle version. Les fans auront reconnu la série semi-fantastique, semi-comique, Doctor Wo, produite par nos amis britannique, et possédant donc cet humeur so british qui fait tout son charme.


Je mets donc à l'honneur mon Doctor [incarné par David Tennant] et ce pour quelques temps, jusqu'à ce que je m'en lasse ! :P


Je remonte dès à présent dans mon TARDIS et vous dis bonne soirée !

dimanche 23 septembre 2007

One Word, Two Words [Lien]



Tout juste ajouté dans les liens, ce blog, crée par Izzie et sa petite équipe [mais j'ai l'impression qu'elle en fait une majorité ^^], est des plus interessants.
Bien loin, de faire parti des habituels 'jounaux intimes' virtuels, ce blog a pour but de nous faire découvrir le monde, à travers la littérature, le cinéma, les voyages, la culture, les informations diverses récoltées ça et là...

Très bien fait, avec un design changeant toujours agréable à l'oeil, vous trouverez forcément votre bonheur parmis les articles postés par les bons soins de la rédaction.

En cours : Version la Vengeance dans le Peau.

Je te souhaite bonne chance pour la continuation, Izzie ;)

samedi 22 septembre 2007

By Moonlight [FanFic NCIS]




Note de l’Auteur : Pour la première fic postée sur ce blog, j’ai choisi la plus récente… Elle a pour support la série NCIS. Bonne lecture !

Disclaimer : Les lieux et les personnages cités dans cette histoire ne m’appartiennent pas. Ils sont la propriété du créateur de la série [Bellisario]. Je n’écris cette histoire qu’à des fins purement distractives… et ne gagne donc pas d’argent avec. [quel dommage ! ^^’]

Spoilers : Aucun de particuliers… Pas d’inquiétude à avoir de ce côté là !

Rating : G

Indications : Vous pouvez voir un ship dans ce OS, mais ce n’est pas obligatoire… Personnellement, je ne sais même pas si j’en vois un ou pas… >_< C’est pour dire ! ^^’

Conseil de musiques à écouter :
- Jeff Buckley : Halleluah
- Steve Jablonsky : The Island awaits you




BY MOONLIGHT



La lune éclairait le cimetière de ses rayons bienveillants, semblant veiller silencieusement sur les habitants de l’autre monde. Calme, apaisante… l’atmosphère que dégageait ce lieu était presque libératrice. N’était-ce pas ironique de ressentir cela pour cet endroit qui voyait défiler, et ce jour à après jour, corbillards et familles en pleurs ?! Et pourtant, l’homme aux cheveux gris qui se tenait immobile face à l’étendue de pierres tombales, ne parvenait pas à mettre d’autre mot sur ce sentiment qui s’emparait de lui à chaque fois qu’il posait le pied sur le gazon fraîchement coupé, depuis deux ans qu’il venait ici à intervalles réguliers.

Après être resté un moment en contemplation muette devant cette vision qu’un autre que lui aurait qualifié de ‘morbide’, il commença à s’avancer doucement, faisant crisser le gravier sous son pas lent et mesuré. Il paraissait prendre plaisir à flâner parmi les tombes, et ce, sans pourtant paraître égaré, réalisant ainsi un rituel familier. Il bifurqua soudain et s’engagea dans une allée plus petite que les autres, bordée par d’anciens saules pleureurs qui projetaient leurs ombres sur le sol. Leroy Jethro Gibbs, car tel était son nom, ralentit sensiblement pour finir par s’arrêter totalement lorsqu’il fut arrivé devant Elle…

Il baissa les yeux sur la stèle de marbre blanc, dont la mousse envahissait la base au fil du temps. Il ne put s’empêcher de relire les quelques mots gravés sur la pierre, pour la énième fois depuis qu’ils avaient été tracés…

CAITHLIN TODD
A notre sœur, fille, collègue et amie,
A jamais présente dans nos cœurs

Semper Fi


Les lèvres de Gibbs s’entrouvrirent, et il se mit à répéter, telle une litanie dont lui seul connaissait la réelle et profonde signification : Semper Fi, Kate, Semper Fi…

Un léger sourire fendit son visage et il courba l’échine devant la tombe de la jeune femme, posant un genou à terre. Comme à chaque fois, sa main s’égara presque religieusement sur la pierre, effleurant les lettres de son nom, à jamais gravées sur cette tombe, mais également dans sa tête et dans son cœur.

« Hey… » murmura Jethro, laissant échapper une nuage de buée qui s’évapora dans la nuit. « C’est moi… »

Lorsque l’on connaissait Gibbs et son caractère terre à terre, distant, détaché, voir même parfois cynique, la vision de sa silhouette dans un tel lieu, à une heure aussi tardive, aurait eu de quoi surprendre, voir même inquiéter… C’était peut-être pour cette raison que Gibbs n’avait jamais parlé de ses visites régulières à quiconque, préférant se rendre au cimetière la nuit, à l’abri des regards inquisiteurs et curieux qui se seraient invariablement posés sur lui.

Prenant une profonde inspiration, Gibbs ferma les yeux. Pendant une fraction de seconde, il lui sembla sentir les effluves du parfum de Kate dans le vent, et sentir les pans d’une étoffe lui effleurer la peau. Mais lorsqu’il ouvrit les yeux, rien n’avait bougé… Pure illusion, que son esprit prenait plaisir à retranscrire dans la réalité. Sa réalité.

Une réalité sans Kate.

Son regard se posa de nouveau sur le marbre blanc qui semblait luire étrangement dans l’obscurité. Les jambes de Gibbs fatiguaient, et il se résigna à quitter la position accroupie pour celle, plus confortable, assise. Joignant ses bras autour de ses genoux, il balaya le cimetière vide du regard.

« Je me demande si tu continues à te moquer de Tony, de là où tu es… » souffla-t-il d’une voix douce, n’osant parler trop fort, gagné par la solennité de l’endroit.

Il esquissa un sourire, et ses yeux bleus étincelèrent d’une lueur particulière.

« Il a trouvé quelqu’un pour lui répondre ! Mais même si Ziva et lui s’entendent bien… Je sais que tu lui manques. Je le connais mieux que lui-même… »

La tête de Jethro dodelina un instant, et ses yeux se voilèrent. Mais il prit sur lui et se redressant, poursuivit :

« Et malgré sa bonne volonté, Ziva n’a jamais su te remplacer auprès de Abby… Ni de personne d’ailleurs, ajouta-t-il après mûre réflexion. Tu gardes toujours ta place dans le cœur de Tim et de Ducky également… »

Il humidifia ses lèvres, rendues sèches par le froid, avant de finir, d’une voix quasi inaudible :

« Et dans le mien aussi, Kate… »

Il poussa un soupir où se mêlaient manque et complétude ; deux sentiments contradictoires que Gibbs ressentait avec intensité, et ce, chaque fois qu’il se trouvait devant cette tombe.

Sa tombe…

Il resta encore un instant, à contempler en silence les alentours, faisant resurgir des souvenirs enfouis dans sa mémoire, avant de se relever, les jambes parcourues de fourmillements. Sa main s’égara une dernière fois sur le marbre blanc avant de rejoindre le fond de sa poche. Avec un dernier regard en arrière, Gibbs reprit le chemin qu’il avait emprunté dans l’autre sens, le pas toujours aussi flegmatique et posé.

La tombe de Kate se détachait de ses voisines, semblant rassurer Gibbs : Elle l’attendrait… Elle l’attendrait, jusqu’à sa prochaine visite, mais également pour l’éternité…


- THE END -

[ Organisation ]

[ I.n.f.o.r.m.a.t.i.o.n.s ]


Maintenant que la première étape est achevée [c'est à dire la création du Blog], passons à l'organisation de ce dernier. Voivi quelques projets/idées à ce sujet.

Tout d'abord, je publierai sur ce blog mes fics, qui portent sur bons nombres de sujets, qui seront spécifiés dans le titre du post pour plus de facilitée. Je posterai ensuite sûrement mes gribouillages, mes créations et autres choses sortant de ma tête... Mais n'étant pas en section Littéraire pour rien, vous pourez également trouvé, en fouillant, quelques articles plus sérieux, contenant une critique littéraire, un débat sur un phénomène de société, ou d'autres choses de la même envergure.

A noter la création de nouvelles versions, et ce de façon régulière, selon... mon humeur ^^ Pour l'instant, la version actuelle pourrait être qualifiée de... bizartée ? Oô A vous de juger... :D

Let's Go ! [Annonce]



L'idée de la création de ce blog ne vient pas de moi, avouons-le franchement. Cha/Izzie, qui apprécie la majorité de mes écrits, m'a proposé de faire un blog, où seraient regroupés mes histoires. "Why not ?" me suis-je dit... Et me voilà donc, à écrire ce premier message...


Vous l'aurez donc compris, cet endroit sera une sorte de support de mon imaginaire... Je ne ferai pas que poster mes fics néanmoins. Ce blog sera un bon moyen d'enlever le surplus de 'trucs' qui me trottent dans la tête...


Voilà. Qui-a-t-il d'autres à ajouter ? Pas grand chose je pense... Alors, c'est parti ! :D